lundi 27 avril 2015
dimanche 26 avril 2015
First Game
Voilà que j'ai ajouté un monde pour l'option Gold Coins. Notre joueur
tourne vers la droite et se dirige vers la pièce de monnaie.
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C'est assez impressionnant, car une soucoupe volante se promène en continu au dessus du
jeux.
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Dès qu'il s'approche, on lui conseille de tape sut le G. Cela change le point de vue
de la caméra.
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La soucoupe commence alors à déverser des pièces toutes les cinq secondes. Mais voilà, elle déverse aussi des étoiles. Notre joueur gagne 2 points par pièce, mais en perd 3 par étoile. S'il va en bas de zéro:
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J'ai fixé gagner le niveau à 20 points. On rejouera demain...
Pour le code, on doit se servir d'une deuxième page pour le code qui changera la caméra
de façon permanente.
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samedi 25 avril 2015
Dialogue
C'est encore assez délicat d'engager nos personnages dans
un dialogue, car il faut fignoler les distances pour bien voir.
Et une seule bulle ne prend pas beaucoupd d'info.
Ci-bas, notre véliste - Blue - qui doit se rendre sur la tuile
pour chercher les instructions du jeu.
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Le code sur Kodu:
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un dialogue, car il faut fignoler les distances pour bien voir.
Et une seule bulle ne prend pas beaucoupd d'info.
Ci-bas, notre véliste - Blue - qui doit se rendre sur la tuile
pour chercher les instructions du jeu.
Le code sur le joueur cycliste:
jeudi 23 avril 2015
On passe au jeu
Voici mon code:
Tel que requis, le jeux bascule à la première personne après délai:
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La pièce disparaît au touché, et le chiffré monte. (Le score en premier!?)
Il va falloir évaluer tout ça éventuellement.
mercredi 22 avril 2015
PMonde
Pour les bonnes nouvelles: mon petitmonde est maintenant doté de musique. Et oui, j'ai réussi à ajouter une musique de fond (sur le programme d'une des tours d'entrée). Réjouissant.
Sur les forums, certains ont demandé s'il était possible d'importer sa propre musique sur Kodu. Redmond a répondu que, hélas, non; car il y avait des contraintes de lourdeur des
fichiers à respecter. Quand même, les petits détenteurs de XBox peuvent faire l'expérience
de création d'un jeu: le but de l'aventure.
Mais j'ai aussi bein que je doive bientôt prendre mon crayon et planifier mon jeu, car ajouter
par-ci par-là n'avance pas tellement les choses...
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lundi 20 avril 2015
Terrain
Un modèle de jeu classique se déroulera sur le Open World, c'est-à-dire, sur
un environnement que l'avatar du joueur pourra parcourir à sa guise. Donc, la
séquence particulère de jeux fait l'objet d'un choix. Ici, la camera suit - au plus simple - un seul joueur.
Pour le concepteur du jeu, ce dernier aura à bien travailler son univers. Les amateurs de Mario Bros s'y retrouveront.
* * *
Un Kodu World se dessine à la brosse:
Les flèches gauche/droite régissent la grosseur de la brosse.
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Une forme 3d en cylindre nous permet de suggérer un horizon (libre d'y aller en changeant
de page de code). On crée un prolongement à zoom petit et puis on grossit pour y aller.
La limite du logiciel est dans le sablier des ressources. Quand on attaint le rouge, notre World est trop
étendu.
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Les motifs permettent de delimiter les activités.
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* * *
Cette brosse nous permet de monter ou descendre des tuilesde terrain:
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un environnement que l'avatar du joueur pourra parcourir à sa guise. Donc, la
séquence particulère de jeux fait l'objet d'un choix. Ici, la camera suit - au plus simple - un seul joueur.
Pour le concepteur du jeu, ce dernier aura à bien travailler son univers. Les amateurs de Mario Bros s'y retrouveront.
* * *
Un Kodu World se dessine à la brosse:
Les flèches gauche/droite régissent la grosseur de la brosse.
Une forme 3d en cylindre nous permet de suggérer un horizon (libre d'y aller en changeant
de page de code). On crée un prolongement à zoom petit et puis on grossit pour y aller.
La limite du logiciel est dans le sablier des ressources. Quand on attaint le rouge, notre World est trop
étendu.
Les motifs permettent de delimiter les activités.
%2B(1).png)
* * *
Cette brosse nous permet de monter ou descendre des tuilesde terrain:
Tandis que cette dernière nous invite à soit égaliser (clic gauche) ou rendre gtradual le terrain:
Cette dernière brosse nous aide à former des pics (gauche) ou inégalités (droite):
vendredi 17 avril 2015
Cauchemar
C'est désormais acquis que la grève étudiante 2015 n'aura pas atteint
ses ojectifs: faire reculer le gouvernement Couillard sur un budget qu'il qualifie lui-même de
rigoureux (austère) et endiguer le dévelopement des hyrocarbures au Québec - un enjeu aux
prochaines élections provinciales - (sinon l'économie du pétrol...vouée à mort à long terme, de
toute évidence). Que s'est-il passé?
À consulter les écrits des étudiants grévistes eux-mêmes, l'attention serait maintenant portée sur
les efforts de résistance de l'administration à la perturbation des cours et du libre-mouvement,
jugés contraires à la démocratie étudiante. Car - de l'avis de plusieurs - le droit d'association
dont jouissent les étudiants en facultés à l'intérieur de l'université formerait une base, sinon un
appel moral, à l'existence d'une mouvance étudiante politique.
Le budget présenté par le gouvernement méritait-il une telle tollée? À vrai dire, je n'en sais rien.
Car l'opposition parlementaire n'a pas vraiment eu la chance de faire son travail et nous expliquer
les choses. Et les slogans de rue sont maigres en information. Il était peut-être provocateur et
présenté de façon à irriter l'opposition - car on a sa petite vanité, et les libéraux de Jean Charest
ont quitté la scène dans une mauvaise posture - ou, plus sérieusement, on a tenté de redresser
le language politique, et on s'y tient. Car un des problèmes de fond créé par la menace constante
d'une levée populaire, c'est que l'on est toujours un peu en phase électorale et porté sur la
verbosité. À l'actif du Dr. Couillard, lui ne l'est pas.
Les universités se retrouvent-elles étouffées, par manque de financement? La crise est mondiale:
la montée de facultés professionnelles liés à l'informatique et l'ingénierie bouscule les
études libérales de l'écrit et la réflexion. Ce débat se déroule à Oxford comme à Montréal et
ne devrait pousser personne à prendre les pancartes. L'université Laval laissait savoir l'autre
jour que - faute de moyens - on serait oubliger de couper sur le nombre d'admis. C'est boudeur
comme réflexion. Une petite poussée de vanité là aussi? Veut-on culpabiliser les petits de la
grève 2012 avec l'idée que leur succès sur les frais revient hanter les générations futures.
C'est une notion fausse et honteuse.
Ce qui m'attriste particulièrement en tant que parent, c'est le caractère cauchemardesque de
ce que vivent les grévistes malgré eux : et ne le sont-ils pas un peu tous? Car c'est devenu
un cauchemar éveillé au premier degré: des bouts de discours tirés de divers univers qui
s'imbriguent dans une mésaventure qui défile à toute allure. Et l'on est déjà éveillé.
ses ojectifs: faire reculer le gouvernement Couillard sur un budget qu'il qualifie lui-même de
rigoureux (austère) et endiguer le dévelopement des hyrocarbures au Québec - un enjeu aux
prochaines élections provinciales - (sinon l'économie du pétrol...vouée à mort à long terme, de
toute évidence). Que s'est-il passé?
À consulter les écrits des étudiants grévistes eux-mêmes, l'attention serait maintenant portée sur
les efforts de résistance de l'administration à la perturbation des cours et du libre-mouvement,
jugés contraires à la démocratie étudiante. Car - de l'avis de plusieurs - le droit d'association
dont jouissent les étudiants en facultés à l'intérieur de l'université formerait une base, sinon un
appel moral, à l'existence d'une mouvance étudiante politique.
Le budget présenté par le gouvernement méritait-il une telle tollée? À vrai dire, je n'en sais rien.
Car l'opposition parlementaire n'a pas vraiment eu la chance de faire son travail et nous expliquer
les choses. Et les slogans de rue sont maigres en information. Il était peut-être provocateur et
présenté de façon à irriter l'opposition - car on a sa petite vanité, et les libéraux de Jean Charest
ont quitté la scène dans une mauvaise posture - ou, plus sérieusement, on a tenté de redresser
le language politique, et on s'y tient. Car un des problèmes de fond créé par la menace constante
d'une levée populaire, c'est que l'on est toujours un peu en phase électorale et porté sur la
verbosité. À l'actif du Dr. Couillard, lui ne l'est pas.
Les universités se retrouvent-elles étouffées, par manque de financement? La crise est mondiale:
la montée de facultés professionnelles liés à l'informatique et l'ingénierie bouscule les
études libérales de l'écrit et la réflexion. Ce débat se déroule à Oxford comme à Montréal et
ne devrait pousser personne à prendre les pancartes. L'université Laval laissait savoir l'autre
jour que - faute de moyens - on serait oubliger de couper sur le nombre d'admis. C'est boudeur
comme réflexion. Une petite poussée de vanité là aussi? Veut-on culpabiliser les petits de la
grève 2012 avec l'idée que leur succès sur les frais revient hanter les générations futures.
C'est une notion fausse et honteuse.
Ce qui m'attriste particulièrement en tant que parent, c'est le caractère cauchemardesque de
ce que vivent les grévistes malgré eux : et ne le sont-ils pas un peu tous? Car c'est devenu
un cauchemar éveillé au premier degré: des bouts de discours tirés de divers univers qui
s'imbriguent dans une mésaventure qui défile à toute allure. Et l'on est déjà éveillé.
jeudi 16 avril 2015
The Trouble
«The trouble with socialism is that it takes too many evenings.» Cette
petit boutade n’est pas récente - elle nous vient de Oscar Wilde - mais
elle résume parfaitement l’impatience qui ronge le coeur de plusieurs devant
cette crise étudiante qui s’éternise. Réunion sur réunion, et on n’arrive pas à s’en
sortir. Les absents au vote - la grande majorité - ne peuvent que se sentir
perdants. Vraiment triste!!
mercredi 15 avril 2015
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Terrain
Rien de plus simple que de travailler le terrain de jeu:
clic à gauche pour ajouter;
clic à droite pour supprimer;
on choisit le motif sur les carrés gauche;
on choisit la forme sur les droits;
la grosseur de l'unité se règle par les flèches gauche et droite.
Restent à determiner le concept et l'esthétique.
clic à gauche pour ajouter;
clic à droite pour supprimer;
on choisit le motif sur les carrés gauche;
on choisit la forme sur les droits;
la grosseur de l'unité se règle par les flèches gauche et droite.
mardi 14 avril 2015
Limites
Notre petit personnage peut très bien se ruer sur tous les ojects de son entourage
grâce au jeu de commande see et move. mais si on veut rendre cela plus spécifique, il
convient d'ajouter apple et red. Ainsi, il s'arrêtera à la plus proche pomme rouge.
Il s'agit ici de la notion de filtre.
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Pour empêcher un personnage de tomber dans le néant aux frontiers de l'espace de jeu,
on se sert de glass wall, dans settings.
Settings nous permet aussi de varier le ciel, et la lumière ambiante. Voici pour rosé et pénombre
(pas au goût de tous, je le sais).
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lundi 13 avril 2015
Tuto 2
Au tuto 2 du labirynthe, il faut programmer blanc à faire disparaître des pommes au contact.
On programme ensuite bleu à la suivre quand blanc en aura amassé 3.
Les notions acquises sont cruciales. 'Amasser' doit être converti en instructions opérantes:
contact, disparition.
Du point de vue programmation, on a affaire au threading: passer d'un fil d'exécution vers
un autre, très important pour la programmation de jeux.
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Sur blanc, il se passe deux choses quand le joueur heurte la pomme: celle-ci disparaît, et
le score monte de 1.
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Sur bleu, le score est placé en première place. La condition devra être remplie pour que
la deuxième séquence - suivre blanc(tuto1) - s'active.
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J'ai réglé le ScoreWhite au Loud, et l'on voit le nouveau chiffre monter vers la droite.
dimanche 12 avril 2015
Get Ready (Kodu)
Il convient d'abord de se familiariser avec certains aspects visuels de Kodu.
On peut, en tout temps, se rapprocher/éloigner par la mollette. Pour
changer la perspective verticale, on garde la souris droite la souris appuyée. Ceci est
vrai pour l'édition et aussi pour le jeux.
Pour commencer, j'ai ouvert un monde existant et ai choisi personnage en mode édition.
On clique à droite.
Voici un personnage Octo, que j'aime bien en orange (les flèches gauche et droite, pour la couleur).
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On peut, en tout temps, se rapprocher/éloigner par la mollette. Pour
changer la perspective verticale, on garde la souris droite la souris appuyée. Ceci est
vrai pour l'édition et aussi pour le jeux.
Pour commencer, j'ai ouvert un monde existant et ai choisi personnage en mode édition.
On clique à droite.
Voici un personnage Octo, que j'aime bien en orange (les flèches gauche et droite, pour la couleur).
J'ai ajouté un déplacement simple (program), par le clavier:
Le comportement de la caméra se règle pour le jeu (settings, du tableau edit). J'ai choisi de suivre mon personnage.
Je peux aussi me servir de la main en mode édition pour examiner mon travail:
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