jeudi 29 juin 2017

Nunavut

Le Prince Charles et la Duchesse de Cornwall visiteront Nunavut aujourd'hui, et
à Ottawa pour les célébrations du 150ième anniversiare du Canada.



Pour le Nunavut, on se souviendra que ce territoire au sein de Canada n'existe que
depuis peu (1999), qu'il répond d'un High Commisionner représentant de la Reine, et possède un
seul membre à la Chambre des Communes. En fait, tout se voit financé par le
gouvernement fédéral. La population actuelle - principalement des Inuits - se
chiffre à 35 000 habitants.

Les langues officielles sont (l'inuktituk), l'anglais et le français et, parce que l'on cherche
à s'administrer à terme, le territoire se divise présentement en trois régions.

On ne se ment pas; il y fait très froid. Mais la région possède des réserves de charbon, pétrol et de gas, ainsi que des richesses minières.

Il y a deux mines présentement en opération:

MINE D'OR, Meadowbank... RANKIN INLET






MIN DE FER, POND INLET

Mines à venir:


Le Nunavut se réchauffe deux fois plus rapidement que le moyenne planétaire. Quand même!


source: Wikipédia

vendredi 23 juin 2017

Jeux pour tous

Un 23 juin, et il pleut - on peut le craindre - pour la journée...C'est pas jusssste!!

Mais voilà, on peut quand même s'amuser en espérant une éclaircie
pour ce soir. Roblox nous permet de jouer des petits jeux amusants multi-joueurs
créés par des internautes. Et on peut créer son propre jeu et le publier
facilement grâce à une interface très accessible.

On a deux items à télécharger: Roblox Player (boîte rouge, sur l'ordi) et
Roblox Studio (boîte bleue). Il y a eu quelques hésitations
à installer tout ça sur mon PC, mais à répétition, cela se fait.

Ci-bas,  Roblox Studio avec choix de Starting Place. On explore avec
la souris droite enfoncée. On se sert des touches W A S D, ou des flèches.

Pour les tutos:
https://www.youtube.com/watch?v=QWg8LbV6dpM&list=PLuEQ5BB-Z1PLIGkISgNBZVPgC2aV40y-V&index=1


mardi 20 juin 2017

Intrication


 On a vu, dans les nouvelles hier, un item sur la Chine qui aurait
construit un satellite capable d'envoyer des particles intriquées sur une
distance de milliers de kilomètres. Très intéressant!!

On se souviendra de l'intérêt de l'intrication pour les ordinateurs à venir
et les systèmes cryptographiques.

De quoi s'agit-il? Deux particules de la même espèces - disons des électrons, qui
sont des fermions et donc obéissent à l'exclusion de Pauli - dans un même système,
ne pourront jouir des mêmes nombres quantiques décrivant leur présence. Bien logique;
chacun dans sa sub-orbitale, avec son moment cinétique et magnétique propre. Mais voilà,
si on connaît une information sur un, on sait en même temps que l'autre sera différent,
avec une certitude à 100%. Pour les premiers physiciens du quantique (y compris Einstein),
cela semblait bien troublant car on pourrait se croire en situation d'action à distance si
jamais on arrivait à éloigner de telles particules. Et bien maintenant, nous pouvons.

Ce n'est pas de l'action à distance, mais cela revient à une énorme économie de
moyens par rapport à la transmission d'information classique. La Quantum
Information Theory cherche à exploiter ses possibilités.

Pour un aperçu, et les péripéties de Alice and Bob et la notation qui s'applique, voir
l'article ci-bas de l'université Stanford.




https://plato.stanford.edu/entries/qt-entangle/

Pour une explication probabiliste, pour les photons (qui sont des bosons), par un phycisien:

https://www.quora.com/What-is-quantum-entanglement

lundi 19 juin 2017

Post industrielle

source: The Washington Post
auteur: Robert J. Samuelson
traduction: GrosseFille

Détresse de l'Amérique post industrielle

Suite à l'élection du Président Trump, un véritable artisanat s'est
développé constitué de journalistes, chercheurs et commentateurs
cherchant à expliquer l'attrait du candidat. Du point de vue théorique, cela
va de la globalisation à un refus de l'élitisme de Washington et au racisme.
Mais on a peut-être passé à côté de  la véritable cause: la société
post industrielle.

Cete dernière a imposé une échelle de rénumération qui crée systématiquement
des inégalités entre la majorité des Américains et la classe moyenne supérieure,
grosso les 20 pourcent les mieux rénumérés avec une barrière d'entrée d'un peu
plus de $100 000. Nous possédons deux nouvelles études qui le démontrent,
quoique sans mention de la société post industrielle.

Voyons voir. Entre 1960 et 2014, les salaires annuels, avec correction pour l'inflation,
chez les hommes oeuvrant comme professionnels ou cadres ont augmenté de
70 pourcent, d'après Stephen Rose dans une étude pour Third Way, une boîte de
réflexion quelque peu gauchiste. Contrastons, les travailleurs d'usine masculins avec
une hausse de 18% pour la même période.

Non seulement les travailleurs masculins peu qualifiés accusent-ils un retard par rapport
aux hommes de classe moyenne supérieure, mais ils se voient aussi dépassés par 'bien
des femmes et minorités raciales' qui aujourd'hui se qualifient pour des postes de
direction et professionnels jadis hors limite. Depuis 1960, nous assistons 'à une baisse
de prestige dramatique chez la classe ouvrière masculine'.

Parfaitement, reprend Richard Reeves à la Brookings Institution dans son nouveau
bouquin Dream Hoarders. 'Il n'y a rien de surprenant dans l'appui au niveau de 58%
pour les Blancs et 67% des Blancs sans formation universitaire pour le candidat Trump'.

'Trop souvent la rhétorique de l'inégalité fait état du problème des '1% supérieurs',
laissant ainsi entendre que l'autre 99% se retrouve dans une situation pareillement
épouvantable, ' soutient Reeves. 'Cette obsession avec la classe supérieure permet
à la classe moyenne supérieure de se covaincre qu'ils rejoignent le reste de l'Amérique;
mais cela s'avère faux....Ceux d'entre nous membres de la classe moyenne supérieure
ne sont aucunement victimes des inégalités accrues. Nous en sommes les bénéficiaires.'

La venue d'une 'société post industrielle' a rejoint le savoir populaire grâce à un
bouquin du sociologue de l'université Harvard Daniel Bell portant ce nom. À l'époque,
l'économie Américaine se voyait dominée, tout au moins symboliquement, par
l'industrie lourde: acier, voitures, électroménagers, a;uminium, mines de charbon et
production de pétrole, entre autres. Mais Bell a su monrer que le secteur industriel laissait place
aux services - détail, soins de santé, tourisme, éducation, divertissement (y compris restauration),
services banquaires et autres services.

Ceci apporterait bien desw conséquences, prédit Bell. Les chercheurs - ou autres -  peinent
souvent à prédire les événements. Bell fait figure d'exception; beaucoup de ses anticipations
se sont réalisées. Entre autres:

La poussée des services allait perdurer.Vrai. Voilà maintenant les deux-tiers de l'économie,
partant que d'une moitié en début des années 70s.

Le travail manuel - en usine, construction, mines - vit sa part réduite de l'emploi total.
Vrai aussi. En 1960, le travail manuel tenait pour 47% de l'emploi masculin, d'après Rose.
En 2014, cette part devenait 27%.

L'éducation devenait un prérequis pour le succès économique - on cherchait les
travailleurs du savoir - et servait aussi de marqueur pour le positionnement social.
À la fin des années 60s, 51% des travailleurs U.S. n'obtenaient pas le Secondaire; en 2014,
le chiffre comparable montrait 9%, renchérit Rose. Sur cette même période, le nombre de
global de diplomés universitaires triple, de 10 à 35%.

Voilà donc la réalité de la rénumération post industrielle. Les travailleurs du savoir -
médecins, avocats, ingénieurs, scientifiques, informaticiens, cadres - ont relativement
amélioré leur position. Mais la disparition des emplois manuels a fait mal aux travailleurs
peu qualifiés -plus de travailleurs se disputent moins d'emplois - et plusieurs emploi de service
(dans les restaurants, les magasins, les hotels) se voient très mal payés.

Pendant les années 1960s, la rénumération de tous les travailleurs avançait au pas, et
la position relative des gens ne changeait pasbeaucoup. Ce n'est plus le cas, admettent
Rose et Reeves. 'Dans les trente ou quarante dernières années, une inégalité de la rénumération
s'est installée aux Etats-Unis, mais seulement au niveau supérieur', nous apprend Reeves.
'On ne rouve aucune augmentation de l'inégalité pour les 80% inférieurs de la population.'

Un certain ressentiment et une perte des illusions sont souvent cités comme sources de la
colère politique. Dans les faits, on a là les conséquences de la déception. Comme le montre la
venue de la société post industrielle, cela devient bien difficile aux gouvernement de contrer
l'évolution économique et sociale. À quel point il serait possible d'agir - et ce que nous ferons -
centrent le débat politique à venir.





dimanche 18 juin 2017

Augustin

Ce petit article du New Yoker revoit les Confessions de St-Augustin à la
lumière d'une nouvelle traduction. En consultant une version française, on
s'apperçoit que c'est déjà clair. Mais l'intéressant de l'article porte sur la notion
de péché originel et surtout sur l'acte sexuel, devenu véritable horreur pour
Adam et Eve qui doivent désormais 'se vêtir' pour éloigner la concuspiscence.

Dans un esprit plus moderne, pourrait-on revoir cette histoire, prise au pied
de la lettre par Augustin. Car le cerveau de l'homme, plus dévelopé que celui
du serpent, s'excite à la vue du corps humain, et de certains gestes. D'autant
plus s'il connait déjà la passion. C'est bien là la mémoire et le déclenchement
des passions, mais aussi du sens de la pudeur et de la gêne en même temps.
On n'y peut rien et c'est l'étât de péché originel, oeuvre de la connaissance du
Bien et du Mal.

Mais quel terrible choix l'homme a-t-il fait? Si la science actuellement ne peut
cerner parfaitement les débuts de la reproduction sexuée - différente de celle des
reptiles - elle abonde sur les bienfaits que celle-ci apporte. Mais aussi de ses
gênes sociales. On n'a pas fini d'en parler, ou pas.

http://www.newyorker.com/magazine/2017/06/19/how-st-augustine-invented-sex

http://jesusmarie.free.fr/augustin.html

vendredi 16 juin 2017

Les ducks

Voici une idée bien prenante sur l'évolution humain:
ce serait le droit des femmes de refuser certains hommes (donc, des
caractères physiques que l'on n'aime pas) qui a avancé l'évolution
humaine. Une interview avec l'ornithologue Américain Richard Prum de
l'université Yale.

http://www.spiegel.de/international/ornithologist-richard-prum-on-duck-sex-and-human-evolution-a-1151217.html

jeudi 15 juin 2017

Baseball


La partie de baseball annuelle des Parlementaires Américains va
quand même se jouer à Washington, ce soir. Les événements d'hier
ont eu lieu lors d'une pratique des Républicains. Sans la présence
de Steve Scalia, on aurait connu un bilan bien lourd. En tant que
House Whip de son parti, M. Scalia était accompagné de police de protection.

Mais hélas, il se trouvait aussi sur le terrain quand le tireur a commencé
l'assault et il a été touché à la hanche. Le Président Trump a plus tard
annoncé le décès du tireur.

C'est un dur moment dans un contexte de belligérance. Le tireur, un bénévole
de l'équipe Bernie Sanders lors de l'élection présidentielle - âgé de 66 ans - voulait
'en finir' avec le GOP.

http://www.newyorker.com/news/benjamin-wallace-wells/the-tragedy-of-the-congressional-baseball-shooting

dimanche 11 juin 2017

Horrible

Un article assez troublant mais  informatif est apparu hier sur MSN.
Il s'agit du  travail d'un journaliste affecté à Pyongyang, Corée du Nord,
qui maîtrise le Ncoréen et nous rend compte de la véritable
motivation du régime dans ses essais militaires. Pas si fou que ça du
point de vue stratégique, mais horrible par sa banalisation de l'arme
nucléaire.

Il y a d'autres façons de voir les choses. On sait, par ailleurs, que le passage (temporaire)
dans l'armée des jeunes gens assure l'infrastructure du pays et constitue une forme de
service public. Plus réassurant.

http://www.msn.com/en-gb/news/world/a-new-balance-of-terror-why-north-korea-clings-to-its-nukes/ar-BBBI9Hu?li=BBoPU0R

                                                              *   *   *

source: Associated Press in MSN

auteur: Eric Talmadge, Chef de bureau, Pyongyang

traduction: GrosseFille

Pourquoi la Corée du Nord tient tant à ses armes nucléaires


Tôt un bon matin, Kin Jong Un se tenait bien droit depuis une tour d'observation sur des
rizières près de la frontière Chinoise.

Le chef de la Corée du Nord souriait généreusement à la vue de quatre missiles Scud de longue
portée décoller bruyamment de leur plateforme mobile, et évoquait une comparaison au spectacle
de quatre acrobates en unisson. Quelques minutes plus tard les projectiles s'abîmaient à
la mer près de la côte Japonaise, à 1 000 kilomètres (620 miles) de là.

L'événement ferait date. La Corée du Nord venait de mener à bien  sa première simulation d'une
attaque nucléaire sur une base Américaine.

Ce compte-rendu daté le 6 de mars, que l'on retrouve dans la propagande gouvernementale,
illustre à quel point le programme nucléaire apparament plutôt fou, suicidaire ne serait en fait ni
fou ni suicidaire. Au contraire, nous voici face à la stratégie tout-à-fait délibérée de la Corée du
Nord menant à la survie du Régime en place.

Retournant en arrière à l'ère de Kim ll Sung, le 'Présient éternel' de la Corée du Nord et le
grand-père de Kim Jong Un, le régime pris la décicion de passer par deux éléments pour
assurer sa survie: des missiles sûres, de longue portée et des modestes, mais efficaces, ogives
nucléaires. Pour un petit pays, passablement pauvre, le but semblait lointain et ambitieux.
On a finalement détonné le premier machin nucléaire le 9 octobre, 2006.

Aujourd'hui, la Corée du Nord met à l'essai des missiles balistiques plus souvent que jamais -
un 24 record l'année dernière et trois pour le mois (de mars)  ee cete année. Chaque missile
et chaque machin nucléaire signale un adversaire mieux équippé, mieux entraîné et mieux
préparé. Certains experts avancent même qu'ils seront en mesure de construire un missile
capable d'atteindre le continent US avec une ogive nucléaire d'ici deux ou trois ans.

Oublions donc, pour le moment, à quel point Kim Jong Un et ses généraux peuvent sembler
détachés de la réalité. La Corée  du Nord a su mené deux essais nucléaires l'an dernier, pour un
machin le plus puissant qu'ils n'aient jamais détonné et pour l'autre, au dire de Pyongyang,
une première bombe H. Et l'on passe à une escalation du côté des États Unis tout autant -
avec un avertissement explicite pour Pyongyang, on a avec succès descendu un ICBM parti
d'une île dans le Pacifique avec une missile intercepteur venu de la Californie mardi dernier.

Donc, posons-nous une question: si jamais il y guerre et la Corée du Nord se permet une
attaque nucléaire  préventive sur une base militaire Américaine au Japon - dans la réalité -
verrions-nous les États-Unis s'effondrer et battre en retraite? Y aurait-il une riposte, avec le risque
de perdre Washington, DC dans une vague d'attaques de deuxième génération?

Pour Pyongyang, forcer les États-Unis à admettre cette possibilité a figure de victoire, et
ceci devient une possibilité pour les années du Président Trump au pouvoir.


Levée des rizières

Le lancement à 7:36 a.m. du 6 mars s'est déroulé dans la province de Pyongan du Nord  tout
près du site de lancement pour satellites de Sohae. On a largué des missiles dans l'océan à
quelques 300 à 350 kilomètres du Japon.

Dans son compte-rendu du lendemain, le Rodong Sinmun de la Corée du Nord, le
quotidien du parti au pouvoir, a affirmé ne pas avoir  fait un test de la fiabilité des
missiles, mais bien mené un entraînement des troupes qui seront appelées à
'attaquer les bases de l'aggresseur impérialiste Américain au Japon dans une
urgence'.

En renfort, le Nord a adjoint plusieurs photos de Kim vêtu d'un imper noi ravec à la main
une baguette pour indication à la carte ouverte sur une table de bois montrant la trajectoire des
missiles et autres informations. Depuis le Center for Nonproliferation Studies de Monterey en
Californie, l'analyste Jeffrey Lewis et ses collègues se sont rapidement rendu compte que, avec
un petit ajustement vers le Sud, on aurait ainsi frappé la Marine Corps Air Station, Iwakuni.

Iwakuni, à 50 kilomètres (30 miles) au Sud-ouest d'Hiroshima tout au Sud de la principale île Japonaise, sert de base à 10 000 Américains et Japonais en fonction. On y avait situé le centre organisationel de la guerre de Corée en 1950-53, le 'Gateway to Korea' des forces Américaines et de l'ONU, et demeure à ce jour un des plus larges et importants centres d'activité militaire US au Japon.

De fait, on n'aurait pas besoin de passer au nucléaire pour activer une attaque efficace. L'agent neurologique Sarin ou toute autre arme chimique pourrait causer d'importants ennuis. Mais
une attaque nucléaire sur Iwakuni emmenerait une petite touche psychologique à la guerre des
nerfs dans la région. Les media de la Corée du Nord ont bien mentionné la présence de spécialistes
du nucléaire accompagnant Kim.

'Avant la simulation d'attaque sur Iwakuni, les forces des US et e la Corée du Sud menaient
des exercises militaires conjoints, avec des F-35 de garde à Iwakuni' nous apprend l'analyste David Schmerler qui travaille aux côtés de Lewis. 'Les US et la Corée du Sud faisaient une pratique en cas de conflit sur la Péninsule et, voilà que, la Corée du Nord pratiquait leur attaque'.
La répétition faisait oeuvre d'une décapitation avec F-35s furtifs de Kim Jon Un et de ses haut-placés.
Kim, pour sa part, répétait les anéantir le premier.

Le passage à l'acte nucléaire: trois scénarios

La notion héritée de la Guere Froide d'une destruction mutuelle assurée qui a servi à empêcher les ÉU et la Russie de s'anéantir reposait sur un 'équilibre de terreur' encourageant le ménagement:
dès que chacun a atteint un certain niveau de pouvoir destructeur, aucun ne songe à attaquer l'autre parce que la destruction mutuelle est certaine.

La Corée du Nord ne jouit pas de cet avantage. Une guerre dès maintenant pourrait la voir
détruite. Et c'est ainsi depuis des décennies.

Mais voici le pépin pour les ÉU et leurs alliés. Dans l'éventualité de l'existence d'ICBMs
capables de rejoindre le continent Américain, la dynamique devienrt extrêmement volatile.

Une Corée du Nord armée du nucléaire se verrait avantagée à passer au nucléaire rapidement et de le faire en premier si elle croyait, vrai ou faux, qu'on se préparait à l'attaquer. Mais ceci
pousse aussi les ÉU à vouloir frapper le premier, ne voulant pas perdre l'avantage sratégique
après une mauvaise surprise sur ses bases ou villes.

Donc les deux joueurs ont de bonnes raison de passer à l'acte.

Bruce Bennett, expert reconnu sur la Corée du Nord et analyste pour la Défense à la Rand corporation, nous offre trois scénarios possibles: 
  • Voyons le cas dans lequel la Corée du Nord possède un important arsenal nucléaire et peut les lancer d'un sous-marin ou base terreste inconnue. Dans la peur d'une attaque Américaine, elle lance une attaque sur le port Sud Coréen de Busan, et informe les ÉU que face à une ripostenucléaire, certaines ville américaines seront touchées.

Donald Trump, ou son successeur, s'arrêterait-il? Peut-on risquer perdre Los Angeles ou Chicago dans la défense des alliés des ÉU?
  •  Ou encore la Corée du Nord mène un autre essai de missile balistique semblable à celui du 6 mars. Sauf que cette fois-ci, une ogive nucléaire présente sur un ou plusieurs missiles s'enflamme, emmenant ainsi quelques engins commerciaux ou des bateaux cargos. Ceci servirait à convaincre tous et chacun  que la  Corée possède le nucléaire et n'a pas foird aux yeux.

Est-ce que Trump répondrait par une attaque nucléaire sur le Nord?

  • *Maintenant, imaginons une guerre sur la Péninsule Coréenne. Le Nord, dans le but de convaincre les ÉU de ne pas intervenir, lance un ICBM qui semble ne pas se rendre tout-à-fait, bien à l'ouest de la Californie. Mais dans sa descente, il y a une explosion nucléaire, avec possiblement quelque dommage sur le territoir Américain. Pyongyang se permet alors de mettre les ÉU en garde d'une véritable riposte si les ÉU s'imminisaient dans le conflit.

'Le poids de l'histoire repose sur les épaules du Président Américain, comment  répondre?'
nous demande Bennett. 'Comment devrait-il répondre?'

Marche au pas-de-l'oie vers la vistoire finale?

Nous voici en pleine matinée le 25 avril, 'Journée du soleil', le 105ième anniversaire de la naissance de Kim ll Sung.

Quelques 100 000 personnes sont rassemblées à la place Kim ll Sung avec bouquets de plastique et cartes lettrées à la main, configurant des motifs tels ceux du parti au pouvoir, soit marteau, faucille et brosse quand perçus de la Maison de la connaisance du peuple. Là où se trouve Kim Jong Un.

Kim se réjouit à la vue de son armée de un million qui passe au pas d'oie dans 'l'unité d'une
détermination unique'. Il sourit et applaudit à la plus grande variété de missiles et véhicules de transport jamais assemblée par le Nord.

Le message véhiculé par la parade, au profit de journalistes du monde entier, semble clair.
La Corée du Nord peut maintenant, ou pourra bientôt, lancer une attaque préventive sur une
cible régionale.  Elle se prépare à survivre une attaque de riposte au besoin,  et construit l'arsenal nécessaire à une seconde vague d'attaques, cette fois-ci sur le continent Américain.

À l'opposé de l'Union soviétique, la Corée du Nord ne saurait annihiler les États-Unis. Mais en passant ces trois étapes, elle peut très bien détruire une base militaire dans la région ou une ville sur le continent Américain.

Cette perspective d'un nouvel 'équilibre de la terreur'  atteignit son apogée avec le passage des six
missiles pour sous-marin 'Pukguksong' et leurs cousins terrestes 'Pukguksong 2', qui firent trembler
l'asphalte.

Rien ne bat un sous-marin comme arme furtive, car mobile et très difficile à détecter. On
pense que le Nord possède un sous-marin balistique expérimental, que l'on pourrait armer. En même temps, le Pukguksong 2 représente une avancée considérable sur le terrain. On s'y sert d'un carburant solide, donc cela peut aller en storage et se cacher, prêt à un lancement rapide et facile à transporter sur un tout-terrain pour mise en service loin des routes. Kim Jong Un en a commandé
une production de masse.

S'ensuivit la grande nouveauté.

Personne n'a su reconnaître de quoi il pouvait bien s'agir avant le premier essai un mois plus tard le 14 mai, pour un trajet de 2 111 kilomètres en altitude (app 1 240 miles)  - plus élevé que certains satellites en orbite basse. L'engin resta 30 minutes dans les airs avant de redescendre dans le Pacifique. Avec grande cérémonie, les média font l'éloge d'une arme 'parfaite' capable de
contenir 'une ogive nucléaire de grande envergure'.

Plusieurs analystes s'entendent que ce missile - que le Nord nomme Hwasong 12' - pourrait mener vers l'ICBM nécessaire pour attaquer le continent Américain. . Là encore, Kim Jong Un se déplaça pour le lancement tôt le matin. Il a serré ses fiers scientifiques dans ses bras et, d'après les média officiels, aurait mentionné qu'il pouvait désormais s'en prendre aux ÉU  avec 'une arme de riposte toute-puissante'.

De la bravade. Pour le moment. La portée du missile serait de 4 500 kilomètres (2 800 miles), plus ou moins.

Mais, vu autrement, on se rapproche sensiblement de Chicago.

                                                            *     *     *

Le New York Times nous propose pas mal de lecture sur la cyberguerre en cours:

https://www.nytimes.com/2017/06/12/world/middleeast/isis-cyber.html?&hp&action=click&pgtype=Homepage&clickSource=story-heading&module=first-column-region&region=top-news&WT.nav=top-news&_r=0






samedi 10 juin 2017

vendredi 9 juin 2017

Bagehot

Le revers de Mme May aux élections britanniques laisse songeur.
The Economist offre une analyse en termes de passage à la politique
des valeurs, un peu comme aux ÉU. (Et c'est signé Bagehot - éditeur
au 19ième siècle)!?

Traduction à venir

http://www.economist.com/news/britain/21723197-election-reveals-astonishing-changes-political-landscape-culture-wars-arrive

                                                       *   *   *

 source: The Economist, Bagehot

traduction: GrosseFille

GUERRES CULTURELLES POUR LA GRANDE-BRETAGNE
 
L'élection laisse entrevoir un chamboulement du paysage politique

Le Brexit devait nous ramener à nous-mêmes. Libérée de l'Union
Européenne, notre race insulaire devait retrouver son génie naturel et
renouveler avec ce mélange de nationalisme et globalisme qui lui est propre.
Dans les faits cette élection illumine quelque chose de bien différent: divisée
et sonnée par le Brexit, la Grande Bretagne resemblerait de plus en plus à
l'Amérique.

Les trente dernières années ont vu une transformation de la vie politique
Américaine depuis une politique des classes sociales vers une politique des
orientations sociales. En décennie 1970, les Républicains se composaient des
riches et de ceux qui le deviendraient et les Démocrates des travailleurs. À
partir de là, les valeurs ont supplanté l'appartenance de classe. Ronald Reagan
à invité les travaillistes Démocrates  au parti Républicain en faisant le jeu
des valeurs traditionnelles. George H.W. Bush a fait offices des trois G - God,
guns and gays, ie Dieu, le port d'armes et un refus du marriage gai - pour assoir
son entente avec les travailleurs. Et c'est sous George W.Bush que l'Amérique
s'est lancée dans une véritable guerre culturelle: les Républicains forgent une coalition
entre Evangelicals, les conservateurs travaillistes et les gens d'affaire tandis que
les Démocrates répondent d'une coalition de travailleurs du savoir, de minorités
ethniques et de libéraux de tous genres.

À cette division culturelle s'est ajoutée une départition entre générations: les
électeurs plus jeunes, en paticulier les femmes, se sont portées vers les Démocrates.
ainsi qu'unclivage géographique. Le parti Républicain s'est renforcé dans les provinces
(banlieues, grandes banlieues et zones rurales) tout autamt que les Démocrates dans
les villes. On observe aussi une division grandissante entre les zones côtières Démocrates
et le centre Républicain et entre le Sud Républicain et le Nord-Est Démocrate.


Cette élection suggère que la Grande-Bretagne se mue de façon analogue. Une
étude de la carte éléctorale à travers le prisme de classe renvoie une idée
confuse. Les Tories ont bien conservé leurs terres riches de l'intérieur. Mais ont
perdu la richesse de la ville, prenant Battersea à Londres comme example. Ils
ont aussi mieux performé dans certaines régions ouvrières, et même remporté
des sièges travaillistes de longue date, tels Derbyshire North-East et Stoke-on-Trent
South. Le parti travailliste a fait des percées remarquables dans des endroits de riches:
à Londres et autres cités, en particulier cités universitaires. Les acquis sont moins nets
dans des régions carrément Labour.

Cette élection prend son sens examinée par le prisme des valeurs. Les Tories deviennent
le parti des bonnes vieilles valeurs Britanniques: patriotisme, autonomie et méfiance
envers les étrangers -surtout ceux qui souhaiteraient s'ingérer. Ces façons de voir unissent
les classes moyennes des Shires et les plus vieilles classes ouvrières du Nord post-industriel.
Labour, dans tout ça, se transforme en parti cosmopolite: multiculturalisme, compassion, refus du
Brexit. Ces idéaux rassemblent des gens qu'on n'aurait pas pensé:  musulmans piétistes
du Perry Barr,Birmingham; étudiants à la corde au Newcastle; avocats millionaires d'Islington;
ingénieurs ferroviaires du Dagenham.

La division sur les valeurs serait donc régionale. Le Labour prospère dans les grandes
villes. Le Labour Party sous Jeremy Corbyn serait avant tout le parti de Londres:
Islington North pour M.Corbyn, Emily Thornbury, son choix parlementaire aux Affaires
Extérieures, se paie le siège adjoignant. En même temps, les Conservateurs battent
en retraite: Justine Greening, Secrétaire à l'Éducation, voit sa victoire de Putney passer
de 10 000 à 1 000 voix et Jane Ellison, Secrétaire financière à la Trésorie, perd son siège de Battersea. Bien que battant retraire dans la métropole, les Conservateurs rafflent des sièges
inespérés dans des régions post-industrielles de la Grande-Bretagne.

Ce passage à la politique idéation montre un caractère paradoxal. On a fait
le calcul chez les Tories que ce nouveau type de politique avantagerait la droite -
Theresa May en a même remis en déclarant à la conférence de parti des Tories en
2016 que 'se croire citoyen du monde en revient à citoyen de nulle part. C'est ne pas
comprendre la notion de citoyen'. Nicholas Timothy, un de ses directeurs de cabinet
et guru de prise de position, faisait crédence que l'on pourrait convaincre les électeurs
de classe ouvrière en mentionnant les valeurs traditionnelles et le patriotisme. Mais
le Parti a ainsi perdu de vue qu'avec 'citoyen de nulle part'  on pouvait perdre plus d'électeurs de classe moyenne en même temps. Le Labour Party voit à sa direction deux marxistes avoués: M. Corbyn et John McDonnell, Chancellor pour fin parlementaire, donc prenants d'une conception
de l'histoire matérialiste.Et voià donc que ceux-ci président une coalition largement
tenue par ses idéaux sociaux.

La valeur du vide
On notera une particuliarité de cete élection sur les valeurs: l'absence de la
classe d'affaire. Le Business a toujours formé un groupe très loyal aux Tories.
Cer derniers se présentent souvent en tant que Parti des gens d'affaire, s'appuyant
sur ses positions de taxation réduite, création d'emplois et régulation légère, et
les gens d'affaire les appuient. Mais pas cete fois-ci. Les Tories semblent avoir emprunté
bien des mesures anti-affaire du manifeste Labour sous Ed Miliband de 2015, soit
des plafonds aux prix pour l'énergie, des travailleurs sur les conseils et des maximums
à la paie des dirigeants. L'insulte cinglante envers les 'citoyens de nulle part' pourrait
bien inclure les habitués de Davos. On est demeuré plus ou moins silencieux - sans doute,
sous le choc d'un tel revirement de l'allié de toujours, mais aussi par profonde inquiétude
par rapport au Brexit. Mme May déclarant que l'on pouvait bien réduire l'immigration
à quelques dizines de mille et que aucune entente serait une issue préférable à une
soi-dite mauvaise entente peut bien éloigner le Tory Party de ses partisans les plus loyaux.

Une politique sur les valeurs excite. Les émotions montent comme jamais. Mais cela peut
devenir dangereux. Le spectacle de politique Américaine des décennies récentes rend
soucieux. Dans cette guerre des cultures,  les tribus ne s'adressent plus la parole.
On a donc rendu difficile - voire impossible - l'approche à certains problèmes tel le Budget.
Et on remarque un déclin de la qualité de vie dans la sphère publique; on s'excite à recruter
des électeurs mineurs chez les Républicains au point d'élire Donald Trump, un Président
qui n'a aucunement peur de diviser le pays et se payer des victoires accomodantes.
La Grande-Bretagne s'engage dans un sentier dangereux.


jeudi 8 juin 2017

Circuit Réel

Pour passer de l'idéal au réel dans un circuit électrique,
il convient de comprendre que la loi d'Ohms s'applique à un
circuit idéal. Dans les faits, un circuit doit comprendre un élément
de résistance ou de dissipation d'énergie. Et plus le circuit sera long,
moins le courant sera fort (même si les maths sont exprimés en termes
temporels).

Voilà que l'on s'amuse:

http://www.andythelwell.com/blobz/guide.html



mardi 6 juin 2017

Capacitor

On l'a vu hier, une fluctuation de courant dans une ligne
peut avoir une forte répercution sur le voltage. Qui à son tour,
peut générer une forte puissance. On se sert d'un condensateur
(c'est-à-dire, capacitor) pour gérer de tels événements.

En fait , le capacitor sert à stocker des particules  provisoirement.
Le mécanisme est plus simple qu'une pile, car il n'y a aucune
activité chimique à l'intérieur. L'esentiel revint à séparer le négatif
et le positif. Cette décharge vers le capacitor peut aller jusqu'à
l'épuisement de la pile, à un rythm ralentissant. (Les maths
desriptifs se servent de formules tirées du calcul différentiel).




Un capacitor devient vite assez volumineux, et peut contenir un lourde
charge, par example dans un téléviseur. On ne joue pas avec. À
l'opposé de l'échelle, un touch screen est effectivement un capacitor
et le changement de voltage occasioné par un touch sert d'information
pour l'ordi d'un iPhone.


source: HowStuffWorks

lundi 5 juin 2017

Tricity

Le site de la Khan Academy  nous l'explique
clairement: si les relations entre concepts sont claires,
les comportements des composants d'un circuit électrique
dans le réel devront faire objet d'un certain discernement.
Commençons par le théorique.
                                 *   *   *

Considérons les termes déjà compris: courant et voltage.
On sait que le voltage représente le potentiel de notre installation, la
différence entre la borne positive et négative d'une pile. (La pile étant ce qui
transforme un électrolyte en ions soit positifs, ou négatifs, selon comment on
la nourrira). Et le courant revient à un amas de particules par le temps.
En multipliant l'un par l'autre, on obtient la puissance du système.

p = iv    (en watts)

Mais que se passera-t-il si nous doublons le courant. Aurons-nous le double de
puissance? Et bien non, on aura quatre fois le pouvoir. La raison: la loi d' Ohms,
qui porte sur le jeu de la résistance des matériaux, avec R un facteur de proportionalité.
Pour un ensemble donné, la résistance offerte par les atomes du fil, aux électrons
du courant sera un nombre fixe. En substitution:

p = i(iR) =( i^2)R

Donc, si nous doublons le courant, nous quadruplons la puissance accessible à l'installation.

v = iR     i = v/R    R = v/i

C'est à retenir!

source: Khan Academy
            Wikipedia


dimanche 4 juin 2017

samedi 3 juin 2017

Cuivre

Je consulte les videos de la Khan Academy pour
être  certaine d'avoir bien compris. Les choses sont compliquées,
mais en s'y prenant doucement, pas impossibles.

Première trouvaille: le cuivre serait l'élément
de prédilection pour construire  un circuit électrique.
Très apte à conduire un courant, car sa couche extérieure
ne compte qu'un seul électron.

Prenant comme point de départ le modèle de l'atome de Bohr
(en fait, un modèle planétaire), on ajoute la notion de couches
avec niveaux d'énergie différents entre lesquels un électron sautille, et
la dernière agissant comme couche de valence. On apprécie aussi aujourd'hui
que les orbitales à l'intérieur d'une même couche prennent des formes
particulières, avec comme résultat que la localisation des électrons
devient probabiliste.

Donc, le cuivre de no 29 dans le tableau périodique de quatrième rang
contient 4 couches et une répartition entre les sous-couches de
manière à laisser un électron seul en valence. Ce qui le rend apte à
former une molécule avec lui-même.

De fait le cuivre, que l'on trouve à l'état pur, a été le premier métal d'intérêt
pour l'humanité.

source: Wikipedia


https://www.chem4kids.com/files/atom_orbital.html

http://www.chemphys.armstrong.edu/P1/AtmStr.htm

vendredi 2 juin 2017

Électrique

Où commencer; les notions utilisées pour exprimer
l'électricité peuvent paraître un épouvantable charivari de
concepts qui se renvoient les uns aux autres.

Première remarque: on peut faire affaire à des notions statiques ou dynamiques,
c'est-à-dire d'équivalence ou de description temporelle.
Deuxième remarque: le système international SI se construit à partir
d'une unité de base, l'ampère et d'unités dérivées à partir de celle-ci.
Hélas, l'ampère n'est pas intuitive mais fait plutôt le lien avec la
physique classique des forces, qui s'est développée avant notre attention
à l'électricité.

L'ampère, donc, vaut 2 x 10^-7 newtons ie un niveau de force linéaire pouvant accélérer
1 kilogramme de matière de 1 mètre à chaque seconde (car on sait - cauchemar de
mon adolescence en Sciences Physiques - qu'une masse au repos ne bouge pas).
Si un ampère agit pendant une seconde, on a un coulomb. 1 C = 1 A x 1 sec. Voilà, le
coulomb, une unité dérivée de l'ampère. Sauf que, avec nos connaisances actuelles en
chimie, on sait qu'un coulomb représente 6.242 x 10^18 protons, ou encore -C vaudrait
6.242x10^18 électrons. Car ces particules correspondent intrinsiquement à des forces.
 Par ailleurs, 1 A = 1C par seconde. C'est selon.

L'ampère: le courant.

Le coulomb: la charge.

source: Wikipedia
                                                          *   *   *

Voltage:


                                                         *   *   *
Bornes:


Par convention, on décrit le système comme celui d'une charge positive, mais
dans le cas notre ampoule, ce sont des électrons qui se déplacent .

http://www.stjean-pauillac.com/physiquechimie/wa_files/Activit_C3_A9_20sur_20circuit_20_C3_A9lectrique.pdf

                                              
                                                     *   *   *

Energy:

http://www.schoolphysics.co.uk/age14-16/Electricity%20and%20magnetism/Current%20electricity/text/Volts_amps_and_joules/index.html

                                                    *   *   *


Du point de vue de l'appareil, il est question de watts. On paie d'ailleurs pour l'électricité en
kWh (kilowatts x heure).