mardi 10 janvier 2017

Femme

On s'y prend peut-être mal: le malaise sur la présidence de
Donald Trump et le grand sans-gêne à s'exprimer sur le sujet
me semblent inévitables dans le contexte actuel. Tous les conservateurs
y ont droit en politique Américaine. Que n'aurait-on pas dit sur un
président Ted Cruz. Ce que je trouve triste: les attaques incessantes
deviennent carrément sexistes, on lui reproche, in fine, une
sensibilité masculine. Peut-être là la reticence Américaine à faire place
à un leadership féminin au plus haut niveau. L'envers de la médaille.

Petit flash ves l'Angleterre, avec une reine, et pas la première. Et une
femme premier ministre, ainsi qu'en Écosse. On s'accomode du différent
sexuel et ça passe. Ainsi on peut lire sur le Guardian de ce matin:


On s'accepte. Ce que les femmes font souvent pour les hommes (le hamburger
serait un grand met classique!?) et on n'en parle même pas.
Par ailleurs, on se souviendra du soutien quasi-unanime du gratin politique
international pour Mme Clinton aux dernières élections. En Russie, on trouvait
Donald Trump et ses épouses slaves plutôt sympa. Voilà tout.

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