On s'imagine parfois que les choses vont tellement vite en informatique que l'on rattrapera jamais la parade. Cela peut s'avérer faux; car en même temps, certaines tâches auparavant pénibles peuvent devenir extrêmement simples. àCeci est le cas pour les installations de programmes sous windows.
Il existe actuellement des programmes d'installations pour aures programmes ou aspects Windows, que l'on importe facilement par le biais de la fenêtre de commande (sous forme administrateur). Chocolatey, une fois sur votre ordi, va chercher le program demandé (de sa liste) et se chage de toute l'installation. On peut aussi se servir du powershell pour fignollé l'installation, si on sait le travail à faire i.e. permissions etc. C'est magique!!
Pour voir Chocolatey en action, les 8 dernières minutes de ce tuto s'en servent pour l'installation de Git:
https://www.microsoftvirtualacademy.com/en-US/training-courses/using-git-with-visual-studio-2013-jump-start-8306?l=WGG4QtYy_8604984382
mercredi 28 octobre 2015
lundi 26 octobre 2015
Révision
Un domaine de l'informatique qui a beaucoup évolué ces dernières années tient à la révision des versions. Quand un groupe de personnes - pas toujours en contact physique - travaille sur un même projet de logiciel, il faut prévoir une façon de gérer le travail de chacun. De fait, les choses se compliquent très vite, et on fait confiance à des logiciels spécialisés. Ceux-ci appartiennet à deux grandes familles: centralisés, et distribués. Voici la différences, dans les mots d'un adepte:
Bon, c'est assez cavalier comme discussion, mais on a compris. Voyons par des exemples: trois étudiantes préparent un voyage en Europe de trois semaines, chacune trouve les activités d'une semaine. Décentralisé; ce n'est pas grave si Paris ne possède pas la toute dernière version de Londres. On amalgme les versions à la fin. Exemple deux: trois copains préparent la liste éléctorale d'un quartier. Centralisé: on doit savoir à tout moment ce que l'on a de fait, qui a déménagé etc quitte à revenir en arrière à des versions plus anciennes dans les cas de conflit.
Il existe tout un vocabualire spécialisé:
repository
branch
commit
etc.
Chaque logiciel spécialisé offrira ses outils. Git est le grand logiciel distribué, et il est open source i.e. gratuit. GitHub forme le repository . TFS (Team foundation Server) de Microsoft est bien intégré avec Visual Studio et Office et offre un control de pointe aux grandes entreprises.
Conceptuellement, décentralisé avance dans le temps, mais on peut revenir à une version moins récente. Centalisé offre des branchements, que l'on accepte ou pas. Les interfaces de chacun sont bien accueuillantes, mais les pros naviguent sur teminal, et communiquent directement avec le système d'exploitation (Bash scripting).
Bon, c'est assez cavalier comme discussion, mais on a compris. Voyons par des exemples: trois étudiantes préparent un voyage en Europe de trois semaines, chacune trouve les activités d'une semaine. Décentralisé; ce n'est pas grave si Paris ne possède pas la toute dernière version de Londres. On amalgme les versions à la fin. Exemple deux: trois copains préparent la liste éléctorale d'un quartier. Centralisé: on doit savoir à tout moment ce que l'on a de fait, qui a déménagé etc quitte à revenir en arrière à des versions plus anciennes dans les cas de conflit.
Il existe tout un vocabualire spécialisé:
repository
branch
commit
etc.
Chaque logiciel spécialisé offrira ses outils. Git est le grand logiciel distribué, et il est open source i.e. gratuit. GitHub forme le repository . TFS (Team foundation Server) de Microsoft est bien intégré avec Visual Studio et Office et offre un control de pointe aux grandes entreprises.
Conceptuellement, décentralisé avance dans le temps, mais on peut revenir à une version moins récente. Centalisé offre des branchements, que l'on accepte ou pas. Les interfaces de chacun sont bien accueuillantes, mais les pros naviguent sur teminal, et communiquent directement avec le système d'exploitation (Bash scripting).
dimanche 25 octobre 2015
Mangement(3)
Terme plus récent dans le monde de la production logicielle , le DevOps
représente une assimilation des termes development et operations, le premier étant codage, le
deuxième le jeu d'ordinateurs et serveurs dont l'entreprise se servira. En fait, c'est une réaction
envers les débuts de l'ère digitale, quand les deux fonctions ne communiquaient guère. Les choses
sont bien différentes aujourd'hui.
On démarre maintenant une nouvelle application avec tous les joueurs en présence: ccodeurs et
pro de l'IT(Information Technology) siègent avec le client et management pour que tous
s'entendent sur le cahier de charge. La grande différence d'avec les pratiques d'hier: on commence
par décrire les tests que le code devra satisfaire, avant même de commencer le codage. C'est le
monde à l'envers.
Sans dévoiler de grands secrets, on peut bien comprendre que les entreprises qui opèrent sur
l'échelle planétaire peuvent connaître quelques temps morts pour instaurer de nouvelles pratiques.
C'est ce qui se travaille actuellement: la capacité de changer à grande échelle.
Les conséquences du DevOps pour un petit qui voudrait démarrer un site Web vont aussi se faire
sentir. On peut facilement établir un site gratuit sur un serveur de partage pas cher. Chez Msoft, un
serveur de partage n'est qu'un serveur de test, bien sécurisé; on est ensuite libre de se déployer -
au besoin - n'importe ou n'importe quand, soit avec une capacité qui va s'ajuster, ou des instances
du site qui vont se répliquer pour satisfaire la demande. Le load testing guarantit l'intégrité de la
réponse. Et on peut se servir - et recevoir de l'aide - pour tous les languages de programmation, et
modèles de catalogue des versions et migrer de l'un à l'autre au besoin. Le gros luxe, quoi.
Reste à comprendre: l'apport du Cloud Computing!
représente une assimilation des termes development et operations, le premier étant codage, le
deuxième le jeu d'ordinateurs et serveurs dont l'entreprise se servira. En fait, c'est une réaction
envers les débuts de l'ère digitale, quand les deux fonctions ne communiquaient guère. Les choses
sont bien différentes aujourd'hui.
On démarre maintenant une nouvelle application avec tous les joueurs en présence: ccodeurs et
pro de l'IT(Information Technology) siègent avec le client et management pour que tous
s'entendent sur le cahier de charge. La grande différence d'avec les pratiques d'hier: on commence
par décrire les tests que le code devra satisfaire, avant même de commencer le codage. C'est le
monde à l'envers.
samedi 24 octobre 2015
Management(2)
Un concept directeur de grande importance pour le développement de nouveaux logiciels
serait celui de l'Agile Development.
Un logiciel, en tant que produit intellectuel, ne se fait de façon parcellaire - à la matière d'un
produit physique - qu'avec grand désavantage. On a donc migré vers des pratiques très collégiales,
axées sur des équipes (on code à deux) et l'on communique avec le client de manière continue.
Très importants, on produit du code plutôt que de la documentation. Le code parle par lui-même.
Plusieurs méthodologies se raportent à l'Agile: dans l'Extreme Programming (dit, XP), on
programme de petits segments qui entrent dans le cycle de test et révision immédiatement.
Une équipe Scrum - à l'image de la conférence de pesse politique - se rencontre tous les jours pour
que chacun sache ce que font les autres membres de l'équippe. Et l'on exige du codeur qu'il soit
sans vanité ; tout segment de code doit être passible de refactoring; on refait le code ne
changeant en rien le comportement du logiciel mais on le rend plus autonome et secure. Donc, au
niveau du travail, l'Agile a de grandes conséquences.
J'ajouterais aussi des conséquences pour un utilisateur de logiciels. Qui ne s'est pas demandé
pourquoi il y av ait si peu de documentation disponible, et pourquoi il fallait souvent faire du
Google, et des forums pour se comprendre ses logiciels de tous les jours. Now you know!!
serait celui de l'Agile Development.
Un logiciel, en tant que produit intellectuel, ne se fait de façon parcellaire - à la matière d'un
produit physique - qu'avec grand désavantage. On a donc migré vers des pratiques très collégiales,
axées sur des équipes (on code à deux) et l'on communique avec le client de manière continue.
Très importants, on produit du code plutôt que de la documentation. Le code parle par lui-même.
Plusieurs méthodologies se raportent à l'Agile: dans l'Extreme Programming (dit, XP), on
programme de petits segments qui entrent dans le cycle de test et révision immédiatement.
Une équipe Scrum - à l'image de la conférence de pesse politique - se rencontre tous les jours pour
que chacun sache ce que font les autres membres de l'équippe. Et l'on exige du codeur qu'il soit
sans vanité ; tout segment de code doit être passible de refactoring; on refait le code ne
changeant en rien le comportement du logiciel mais on le rend plus autonome et secure. Donc, au
niveau du travail, l'Agile a de grandes conséquences.
J'ajouterais aussi des conséquences pour un utilisateur de logiciels. Qui ne s'est pas demandé
pourquoi il y av ait si peu de documentation disponible, et pourquoi il fallait souvent faire du
Google, et des forums pour se comprendre ses logiciels de tous les jours. Now you know!!
vendredi 23 octobre 2015
Management(1)
Il fallait s'y attendre: il existe, pour la production et mise à jour de logiciels au sein de l'entreprise,
des normes et pratiques. Mais qu'en sera-t-il pour une firme qui produit des logiciels pour ses pairs.
Ceux-là aussi auront besoin de conceptualiser une démarche efficace et payante. Dans un petit
texte sorti en 2008, David Chapell (pour Microsoft) nous offre une entrée en matière. Son texte le
dit clairement:
Viewing ALM (Application Lifecycle Management) as synonymous with SDLC (Software Developement lifecycle) is just wrong - it leads to a misunderstanding of what's really required in this area.
Effectivement, il présente une vue d'ensemble dont les trois composantes ont leur importance:
des normes et pratiques. Mais qu'en sera-t-il pour une firme qui produit des logiciels pour ses pairs.
Ceux-là aussi auront besoin de conceptualiser une démarche efficace et payante. Dans un petit
texte sorti en 2008, David Chapell (pour Microsoft) nous offre une entrée en matière. Son texte le
dit clairement:
Viewing ALM (Application Lifecycle Management) as synonymous with SDLC (Software Developement lifecycle) is just wrong - it leads to a misunderstanding of what's really required in this area.
Effectivement, il présente une vue d'ensemble dont les trois composantes ont leur importance:
Dès que l'on flatte l'idée de bâtir notre appli, le projet est enclenché au niveau de la gouvernance;
il faut en tenir compte.
samedi 17 octobre 2015
Innover
Le fait d'avoir échappé au pire de la Crise actuelle dans bien des pays industrialiés nous aurait empêchés d'innover.
Voir Graham Palmer, Intel Canada:
https://communities.intel.com/community/itpeernetwork/blog/2015/07/08/innovation-north-opportunity-amidst-economic-struggles?wapkw=graham+palmer
http://www.theglobeandmail.com/report-on-business/qa-intels-graham-palmer-on-tapping-canadas-technology-scene/article15370373/
Voir Graham Palmer, Intel Canada:
https://communities.intel.com/community/itpeernetwork/blog/2015/07/08/innovation-north-opportunity-amidst-economic-struggles?wapkw=graham+palmer
http://www.theglobeandmail.com/report-on-business/qa-intels-graham-palmer-on-tapping-canadas-technology-scene/article15370373/
mardi 13 octobre 2015
UK Prices
Pour les îles Britaniques, les prix à la consommation plangent dans le négatif. Normalement, il y aurait lieu de s'inquiéter, car c'est le signe d'une Crise. Mais comment comprendre les bas prix actuels pour le pétrol.
http://www.theguardian.com/business/2015/oct/13/uk-inflations-dips-below-zero
dimanche 11 octobre 2015
Rapide
L'on peut maintenant réserver une table chez MacDo en Suède sur le Web. La condition: il va falloir inclure un burger Maestro Classic dans son repas. Notion étrange?
La discussion sur les déboires financiers de MacDo, sur Wired, en vient à l'idée que le véritable problème de la chaîne ne tient pas à son menu, comme on le pense parfois, mais bien au fait que pour les jeunes gens des ÉU, il n'est pas suffisament branché. Chez Starbucks, par exemple, on peut commander et payer son latte électroniquement avant de s'y rendre, et le tout se fera donc rapidement, un avantage pour les travailleurs.
Sur le fond, il reste quand même une grande différence avec Starbucks: les MacDos sont souvent des franchisés, tandis que Starbucks est une chaîne unique. Les accomodatiions se feront donc de façon unitaire et rapide.
Bref, on peut s'attendre à des McDos qui innovent d'après différents modèles, C'est à suivre...
La discussion sur les déboires financiers de MacDo, sur Wired, en vient à l'idée que le véritable problème de la chaîne ne tient pas à son menu, comme on le pense parfois, mais bien au fait que pour les jeunes gens des ÉU, il n'est pas suffisament branché. Chez Starbucks, par exemple, on peut commander et payer son latte électroniquement avant de s'y rendre, et le tout se fera donc rapidement, un avantage pour les travailleurs.
Sur le fond, il reste quand même une grande différence avec Starbucks: les MacDos sont souvent des franchisés, tandis que Starbucks est une chaîne unique. Les accomodatiions se feront donc de façon unitaire et rapide.
Bref, on peut s'attendre à des McDos qui innovent d'après différents modèles, C'est à suivre...
samedi 10 octobre 2015
lundi 5 octobre 2015
Oregon
source: Reuters
auteur: Eric M.Johnson
traduction: GrosseFille
PLUSIEURS ARMES SUR CE CAMPUS DU COLLÈGE D'OREGON SUPPOSÉMENT SANS ARMES
Roseburg, Oregon. Le tireur qui a descendu huits étudiants et un enseignant dans un collège de l'Oregon la semaine dernière, a de ce fait même ravivé un débat sur le besoin de changement sur les lois régissant le port des armes à feu et à savoir si la politique 'libre d'armes à feu' de l'école aurait faciliter le massacre.
Le président Barack Obama s'et empressé de demander un encadrement plus stricte pour éviter de telles tragédies, mais a ainsi provoqué les conservateurs tel Mike Huckabee, qui ambitionne la Maison Blanche. "Il devient clair que des zones libres d'armes à feux font des victimes", aurait avancé Huckabee.
Une bonne douzaine d'étudiants et autres avec des liens au Umpqua Community College de Roseburg ont fait valoir que plusieurs étudiants portaient des armes et que cela était connu de tous.
"C'est tout à fait permis de 'porter mais cacher' sur ce campus," d'après Jeremy Smith, 24 ans, étudiant et sapeur pour feu de forêt à temps partiel.
Smith nous confie qu'il ne retournerait jamais sur le campus sans une arme de poing.
"Je suis un inconditionnel des armes à feu," il clame. "Je porte, comme à peu près tout le monde."
La loi en Oregon permet expressément des armes cachées, mais le règlement étudiant précise que les armes à feu sont interdites sur les lieux de collège "sauf expressément authorisées par la loi ou le règlement du collège".
Le collège offre une formation en justice criminelle pour la Police Reserve Academy qui inclut le maniement des armes. A proximité du campus, le Roseburg Rod and Gun Club permet aux étudiants de s'exercer ou obtenir de l'aide pour l'obtention d'un permis de port d'arme dissimulée, nous apprend un employé.
Il y avait deux guardiens non armés sur le campus, mais plusieurs actuels et ancients étudiants prétendent qu'il n'est pas du tout inhabituel qu'il s'y trouve des armes de poing dissimulées, en particulier chez les centaines de vétérants du militaire qui suivent des cours et fréquentent le Student Veteran Center.
La possibilité de la présence d'une arme pour défendre les étudiants a passé par la tête d'un enseignant alors que les coups de feu sonnaient sur le campus jeudi.
"Quand j'ai rejoint la pièce en situation de confinement, un des enseignants s'est enquis s'il y avait un porteur d'arme dissimulée," raconte l'étudiant John Parker, vétéran de la Air Force, portant maintenant un fusil à la hanche.
"J'ai levé la main et ai dit: 'Ne vous faites aucun souci, personne ne passera cette porte.'"
En dehors du monde des vétérans, toutefois, les étudiants tendent à dire que le campus est 'libre d'armes à feu', citant le code de comportement de l'école et la culture ambiante parmi les quelques 3 000 étudiants.
UNE AMBIANCE POUR ARMES À FEU
L'Oregon serait plutôt libéral en politique, mais les armes sont partie prenante de la trame culturelle du Roseburg's Douglas County, et s'y côtoie une large population de chasseurs, hobbyistes, et vétérans du militaire acquis au Sheriff John Hanlin, fortement en faveur du Second Amendment.
Grosso un adulte sur 16 en Oregon possède un permis de port d'arme dissimulée, renvoit les média locaux. Le maire de Roseburg, Larry Rich travaille actuellement l'obtention de son permis et fréquente l'aire de pratique près du campus.
'Il n'y a pas si longtemps," nous informe le pasteur des lieux Ted Johnson, " l'on pouvait sur le campus de l'école secondaire ou de l'UCC, appercevoir des camions plein le stationnement avec des présentoirs et armes à l'arrière."
Jared Norman nous apprend qu'il connaissait plusieurs étudiants d'Umpqua qui se présentaient avec des armes au campus, mais les laissaient souvent dans leur voiture. Il prévoit prendre un cours sur la sécurité des armes et obtenir son permis depuis les événements.
"Cela ne me surprend pas qu'on porte des armes sur le campus," il avance. "En toute honnêteté, cela m'a réconforté de savoir qu'il s'y trouvait des porteurs d'armes responsables ce jour-là."
Une cours d'appel de l'Oregon a statué en 2011 que les universités ne pouvaient interdire le port d'armes dissimunlées sur le campus pour les détenteurs de permis.
Le corps législatif a bien voulu introduire une loi mettant au clair le port d'armes sur le campus, mais aucune formualtion n'a trouvé appui. Une en particulier aurait interdit tout port d'armes.
La loi en Oregon interdit le port d'armes dans des édifdices publics sauf pour un détenteur de permis pour arme dissimulée, nous informe Kristina Edmunson, porte-parole du procuteur-général de l'état. Toute fois, les collèges communautaites et les univesités possèdent de larges pouvoirs de former des politiques, elle ajoute.
Cette ambiguité alimente le débat sur l'étendue des pouvoirs d'un collège, et si plus de porteurs legallement autorisés pourraient arrêter des tueurs et sauver des vies dans l'avenir.
"J'aurais plutôt voulu voir plus d'étudiants avec la capacité d'envoyer ce type à son repos," argumente Kevin Starrett, directeur de la Oregon Firearms Federation, un groupe de pression sur les armes.
Outre l'Oregon, des armes dissimulées légalement sont permises au Colorado, Idaho, Mississipi, Utah, Wisconsin, et au Texas aux termes d'une nouvelle loi entrant en vigueur en août.
Certains éducateurs, étudiants et parents, et groupes de pression anti-armes, cependant, s'opposent fortement à une culture sur le campus avec maints étudiants armés, posant l'argument que plus de fusils veut dire plus de violence. Ils demandent aux législateurs de créer des restrictions plus fortes au port d'armes, d'améliorer la sécurité sur les campus et de renforcir le système de santé mentale.
Toni Paul, dont la fille fréquente Umpqua, affirme: "J'ai une arme moi-même, et j'aimerais obtenir mon permis pour une arme dissimulée. Mais pour ma fille? Les gens affectés à la sécurité devraient avoir des armes, mais pas les étudiants."
auteur: Eric M.Johnson
traduction: GrosseFille
PLUSIEURS ARMES SUR CE CAMPUS DU COLLÈGE D'OREGON SUPPOSÉMENT SANS ARMES
Roseburg, Oregon. Le tireur qui a descendu huits étudiants et un enseignant dans un collège de l'Oregon la semaine dernière, a de ce fait même ravivé un débat sur le besoin de changement sur les lois régissant le port des armes à feu et à savoir si la politique 'libre d'armes à feu' de l'école aurait faciliter le massacre.
Le président Barack Obama s'et empressé de demander un encadrement plus stricte pour éviter de telles tragédies, mais a ainsi provoqué les conservateurs tel Mike Huckabee, qui ambitionne la Maison Blanche. "Il devient clair que des zones libres d'armes à feux font des victimes", aurait avancé Huckabee.
Une bonne douzaine d'étudiants et autres avec des liens au Umpqua Community College de Roseburg ont fait valoir que plusieurs étudiants portaient des armes et que cela était connu de tous.
"C'est tout à fait permis de 'porter mais cacher' sur ce campus," d'après Jeremy Smith, 24 ans, étudiant et sapeur pour feu de forêt à temps partiel.
Smith nous confie qu'il ne retournerait jamais sur le campus sans une arme de poing.
"Je suis un inconditionnel des armes à feu," il clame. "Je porte, comme à peu près tout le monde."
La loi en Oregon permet expressément des armes cachées, mais le règlement étudiant précise que les armes à feu sont interdites sur les lieux de collège "sauf expressément authorisées par la loi ou le règlement du collège".
Le collège offre une formation en justice criminelle pour la Police Reserve Academy qui inclut le maniement des armes. A proximité du campus, le Roseburg Rod and Gun Club permet aux étudiants de s'exercer ou obtenir de l'aide pour l'obtention d'un permis de port d'arme dissimulée, nous apprend un employé.
Il y avait deux guardiens non armés sur le campus, mais plusieurs actuels et ancients étudiants prétendent qu'il n'est pas du tout inhabituel qu'il s'y trouve des armes de poing dissimulées, en particulier chez les centaines de vétérants du militaire qui suivent des cours et fréquentent le Student Veteran Center.
La possibilité de la présence d'une arme pour défendre les étudiants a passé par la tête d'un enseignant alors que les coups de feu sonnaient sur le campus jeudi.
"Quand j'ai rejoint la pièce en situation de confinement, un des enseignants s'est enquis s'il y avait un porteur d'arme dissimulée," raconte l'étudiant John Parker, vétéran de la Air Force, portant maintenant un fusil à la hanche.
"J'ai levé la main et ai dit: 'Ne vous faites aucun souci, personne ne passera cette porte.'"
En dehors du monde des vétérans, toutefois, les étudiants tendent à dire que le campus est 'libre d'armes à feu', citant le code de comportement de l'école et la culture ambiante parmi les quelques 3 000 étudiants.
UNE AMBIANCE POUR ARMES À FEU
L'Oregon serait plutôt libéral en politique, mais les armes sont partie prenante de la trame culturelle du Roseburg's Douglas County, et s'y côtoie une large population de chasseurs, hobbyistes, et vétérans du militaire acquis au Sheriff John Hanlin, fortement en faveur du Second Amendment.
Grosso un adulte sur 16 en Oregon possède un permis de port d'arme dissimulée, renvoit les média locaux. Le maire de Roseburg, Larry Rich travaille actuellement l'obtention de son permis et fréquente l'aire de pratique près du campus.
'Il n'y a pas si longtemps," nous informe le pasteur des lieux Ted Johnson, " l'on pouvait sur le campus de l'école secondaire ou de l'UCC, appercevoir des camions plein le stationnement avec des présentoirs et armes à l'arrière."
Jared Norman nous apprend qu'il connaissait plusieurs étudiants d'Umpqua qui se présentaient avec des armes au campus, mais les laissaient souvent dans leur voiture. Il prévoit prendre un cours sur la sécurité des armes et obtenir son permis depuis les événements.
"Cela ne me surprend pas qu'on porte des armes sur le campus," il avance. "En toute honnêteté, cela m'a réconforté de savoir qu'il s'y trouvait des porteurs d'armes responsables ce jour-là."
Une cours d'appel de l'Oregon a statué en 2011 que les universités ne pouvaient interdire le port d'armes dissimunlées sur le campus pour les détenteurs de permis.
Le corps législatif a bien voulu introduire une loi mettant au clair le port d'armes sur le campus, mais aucune formualtion n'a trouvé appui. Une en particulier aurait interdit tout port d'armes.
La loi en Oregon interdit le port d'armes dans des édifdices publics sauf pour un détenteur de permis pour arme dissimulée, nous informe Kristina Edmunson, porte-parole du procuteur-général de l'état. Toute fois, les collèges communautaites et les univesités possèdent de larges pouvoirs de former des politiques, elle ajoute.
Cette ambiguité alimente le débat sur l'étendue des pouvoirs d'un collège, et si plus de porteurs legallement autorisés pourraient arrêter des tueurs et sauver des vies dans l'avenir.
"J'aurais plutôt voulu voir plus d'étudiants avec la capacité d'envoyer ce type à son repos," argumente Kevin Starrett, directeur de la Oregon Firearms Federation, un groupe de pression sur les armes.
Outre l'Oregon, des armes dissimulées légalement sont permises au Colorado, Idaho, Mississipi, Utah, Wisconsin, et au Texas aux termes d'une nouvelle loi entrant en vigueur en août.
Certains éducateurs, étudiants et parents, et groupes de pression anti-armes, cependant, s'opposent fortement à une culture sur le campus avec maints étudiants armés, posant l'argument que plus de fusils veut dire plus de violence. Ils demandent aux législateurs de créer des restrictions plus fortes au port d'armes, d'améliorer la sécurité sur les campus et de renforcir le système de santé mentale.
Toni Paul, dont la fille fréquente Umpqua, affirme: "J'ai une arme moi-même, et j'aimerais obtenir mon permis pour une arme dissimulée. Mais pour ma fille? Les gens affectés à la sécurité devraient avoir des armes, mais pas les étudiants."
samedi 3 octobre 2015
Anglos Tous
La BBC offre un site pour les anglophones d'Amérique. Voici la charmante Siobhan Thompson (le nom est Irlandais).
jeudi 1 octobre 2015
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