intercontinenal? Non, car la portée du missile doit excéder 5 500 kilomètres
et ce n'est pas encore le cas. De fait, parmi le club des pays qui possèdent le feu nucléaire,
seuls trois ont des missiles de longe portée: les ÉU, la Russie et l'Inde et la Russie
possède le plus puissant, qui atteint 16 000 kilomètres. Mais
certains pays, comme la France, peuvent quand même répondre à une attaque
( dans ce cas, sur le sol Européen).
Pourtant, on a eu droit à une avancée majeure, car le missile a testé des
capacités de déploiement, et d'entrée dans l'atmosphère. À la sortie de la deuxième guerre
mondiale, on a tout simplement larguer une bombe à partir d'un avion. Par missile, c'est
passablement plus compliqué. De fait, cela n'a jamais été fait dans des conditions réelles.
La Chine et la Russie semblent vouloir s'entendre que l'on doit cesser de traiter la
Corée du Nord en État négligeable et passer à des négotiations, et bien s'attendre
au retrait des 28 000 troupes Américaines présentement sur la Péninsule comme condition de
départ.
Hola. On se doute depuis longtemps que ce sont des ingénieurs Russes (surnuméraires à la tombée
de l'Union Soviétique) à la source du programme Nord Coréen. Et ces derniers progressent
rapidement - un peu à la manière d'internautes qui suivent un tuto - dans le déploiement de
diverses technologies. Très rapidement. Du point de vue diplomatique, ils emploient une
fanchise surfaite en direction de l'Amérique (C'est la troisième fois qu'ils font un essai
d'armes le Fourth of July; ils avancent sortir les ÉU de leur 'ennui'. Funny!) Mais à long terme,
nous avons une économie qui mise sur les armes - qui ne serviront jamais? - à moins de
les exporter. Not a good thing.
Le ÉU pèsent leurs options, et s'inquièent de leur présence et liberté de mouvement
à long terme dans le Pacifique. Mais il vaudrait peut-être mieux n'envisager que des
approches et interventions 'légales'.
sources: Washington Post,
Libération
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