mardi 15 avril 2014

Devoir Scratch

Le projet Sctach se trouve maintenant en forme d'ébauche d'assez haut niveau; mais
hélas en deux morceaux. Il faudrait amalgamer tout ça, mais c'est fastidueux sur Scratch. Le logiciel
Snap de la UC Berkeley semble pouvoir gérer les subroutines, mais on risque
de s'y perdre. What to do...


Addendum: Je me fais honte. L'insecte vedette de mon clip n'est pas une arraignée (qui
a un petit corps et huit pattes) mais bien une coccinelle (carapace colorée et six pattes).
D'autant plus qu'une coccinelle ouvre sa carapace pour voler.

Maintenant qu'il y a de la musique sur le clip, elle pourrait faire une petite danse? 

lundi 14 avril 2014

How-To Scratch








Voici nos  'patchs'.




dimanche 13 avril 2014

vendredi 11 avril 2014

From Scratch

Le logiciel d'apprentissage de la programmation Scratch s'est récemment enrichi. Dans la version Scratch2, il devient possible de créer des variables (locale ou globale), ainsi que des listes. On se sert aussi de la notion de join de façon innovante.

Le join classique se retrouve sourtout dans le travail sur les bases de données. Deux tables faisant partie d'une même base de donnée dite relationelle se servent ainsi d'une même colonne d'information(field), permettant à l'ordinateur de faire des liens dans ses recherches tout en présentant des tables simples pour l'interlocuteur humain. Dans l'exemple ci-bas, la table Cities recense les villes déservie par la firme, tandis que la deuxième Clients se sert du code ville pour plusieurs clients(records). C'est une relation one-to-many et le lien se construit par un join.

En effet la Cities crée un index de code-ville dont se sert la Clients, mais du point de vue informatique, les deux tables se doivent de respecter les lois du one-to-many pour maintenir l'intégrité de la base de donnée: il peut y avoir plusieurs 2 dans la table Clients mains aucun code-ville n'est possible s'il n'apparaît dans la liste Cities. CityID est Primary Key pour la table 1, et Foreign Key pour la 2.


Tech-ICT.com

Le projet ci-dessous à partir de Scratch2, revient à un simple convertisseur denombre du décimal au binaire. Le programme Scratch sait déjà exprimer des nombres décimaux, mai spas des nombres issus d'opérations sur le binaire. ( Plutôt ironique lorsqu'on pense qu'un ordi calcule en binaire et transcrit ses résultats en décimal par le biais de l'encodage ASCII).

Mais voilà, on va mettre la notion de join à contribution. Le join de Scratch est défini dans les opérations. C'est ajouter World à Hello, ici un 0 ou 1 à la file présente; car le calcul se fait de gauche à droite et on épeluche soit un 0 ou un 1 à chaque tour par un jeu de multiplication et division par 2 sur le nombre en entrée et le nombre de tours.

L'ordi fait ce que l'interlocuteur ne fait pas consciemment; en fait pour nous la notion de 14 relève aussi d'un join de quatre unité à la suite de 1 dizaine...


 


jeudi 10 avril 2014

CourseWork2


Bref, si j’ai bien compris, l’ordi au départ ne sait qu’additionner et comparer.
Il faut monter le reste par le biais d’un assembly language. Le produit ne convient
qu’au processeur choisi (son instruction set), et le programme n’est donc pas portable.

Partant d’un language de plus haut niveau - le Fortran, pour l’histoire - on peut
créer des programmes portables. En revanche, il nous faut un compiler pour
rejoindre le language machine.

En C, le fait de compiler va produire un fichier objet. Si l’on ajoute un link vers
les bibliothèques de code existantes, on a accompli un build. Le fichier produit 
nous donnera alors l’output recherché. Ce fichier s’appelle executable sous Windows.


mardi 8 avril 2014

Pour le C

C'est Microsoft à la rescousse! Quiconque voudrait suivre les cours Harvard CS50
peut se servir de Visual Studio pour ses petits essais. Parce que C++ se présente
comme un ajout vers la programmation objet sur le C, on peut écrire
ses programmes C et les compiler sut l'interface VS.
 
Pour compiler: Crtl + F7
Pour run: Crtl + F5




lundi 7 avril 2014

vendredi 4 avril 2014

PS (PowerShell)

L'administrateur d'un réseau d'ordinateurs possède depuis toujours la
possibilité de créer ce que l'on appelle des batch files. En effet, il s'agit
de façonner de manière automatisée des procédures qui autrement seraient longues
si on devait les entreprendre pour chaque ordi.

Microsoft remplace la console petit à petit par la PowerShell, plus performante.
La notion de Shell, ou coquille, fait référence à l'interface avec l'ordi.
Plus la plupart, cet interface est un GUI graphical user interface, mais cela peut
tout aussi bien se faire par des commandes textuelles, donc command-line.
C'est le domaine de l'aministrateur.
 
Par un clic droit, j'exige de passer è administrateur:


Les commandes sont simples; ipconfig me donne les addresses IP de mon ordi.
 
Le tout roule aux commandlets. Taper command me donne la liste. (Il convient de télécharcher
la filière help au préalable, avec Update-help.)

 
Si une commande m'intéresse, je tape Get-help blah-blah.

 
Je vais sûrement vouloir faire un script éventuellement; il va me falloir changer la sécurité
qui bloque les scripts par défaut.

Par ailleurs, il y a aussi une version de PowerShell sur l'ordi qui permet d'élaborer des scripts:
 

 
 
Le language qui régit PowerShell est très simple, créé pour la cause. Il devient
aussi éventuellement possible d'embarquer des scripts VB ou C# sur PS.