Question du Jour: me mettre à date parmi les débats intellectuels à portée
politique actuels. Voici que je découvre sur la liste du New York Times bestsellers,
le livre de Yuhal Noah Harari, Sapiens: A Brief History of Humankind, sur la liste de lecture
de maints décideurs cet été. De quoi s'agit-il? Effectivement, la critique n'est pas toujours
gentille avec ce livre qualifié d'un peu facile. La thèse principale: l'homme aurait réussi
à s'imposer sur la terre par sa capacité à mener à bien l'action collective, mais pas toujours
pour son plus grand bonheur.
Si je consulte Wikipédia, j'apprends que ce livre a fait ses débuts en 2011, en Hébreu, mais
se voit aujourd'hui traduit en 45 langues. Avec un enjeu de fond proprement philosophique.
Un débat en linguistique entre Chomsky et la notion de 'generative grammar' qu'il défend
sur la nature du language (essentiellement des règles de production du tonnerre) et une version
concurente pour laquelle le language serait constitutif de la réalité. Essentiellement, Harari
abandonne Chomsky pour explorer l'alternative...
De toute évidence, j'aurais du travail pour reprendre le fil sur ces questions. Mais c'est une
une journée splendide aujourd'hui, soleil et vent. Peut-être là un travail pour journée sombre...
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jeudi 31 mai 2018
mardi 22 mai 2018
Chine et population
La Chine lève finalement l'interdit sur les familles nombreuses. On se souviendra
de la politique initiale de1979, par laquelle les gens devaient faire application avant
de devenir enceinte: 1 enfant par famille pour les citadins, possiblement un deuxième
en campagne si le premier s'avérait une fille. De fait, les structures administratives
de cette politique sont maintenant abolies.
Aspect intéressant, les naissances en Chine resemblent aujourd'hui à celles dans
d'autres pays dit inducrialisés: 12.7 naissances par 1 000 personnes. (Le Canada se
trouve actuellement à 10.3). Cela se traduit par des indices de fertilité plus bas que le
renouvellement naturel des populations. (Bien sûr, calculé pour une démographique
donnée). On s'attend à voir la natalité chinoise continuer sa descente.
Déjà la Chine fait face aux problèmes de basse natalité: manque de travailleurs pour
soutenir la croissance économique, arrangements difficiles pour le soin des personnes
agées. Mais avec déjà 18% de la population mondiale, ce pays demeure clé pour l'équilibre planétaire, et un modèle de modernisation.
source: Times UK
de la politique initiale de1979, par laquelle les gens devaient faire application avant
de devenir enceinte: 1 enfant par famille pour les citadins, possiblement un deuxième
en campagne si le premier s'avérait une fille. De fait, les structures administratives
de cette politique sont maintenant abolies.
Aspect intéressant, les naissances en Chine resemblent aujourd'hui à celles dans
d'autres pays dit inducrialisés: 12.7 naissances par 1 000 personnes. (Le Canada se
trouve actuellement à 10.3). Cela se traduit par des indices de fertilité plus bas que le
renouvellement naturel des populations. (Bien sûr, calculé pour une démographique
donnée). On s'attend à voir la natalité chinoise continuer sa descente.
Déjà la Chine fait face aux problèmes de basse natalité: manque de travailleurs pour
soutenir la croissance économique, arrangements difficiles pour le soin des personnes
agées. Mais avec déjà 18% de la population mondiale, ce pays demeure clé pour l'équilibre planétaire, et un modèle de modernisation.
source: Times UK
dimanche 13 mai 2018
(Times.UK) Les ZuckBucks!
Facebook boss Mark Zuckerberg plots to launch own ‘currency’
We take ZuckBucks! Tech giant eyes move into payments
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Facebook is considering launching its own cryptocurrency and allowing its 2bn-plus users to make seamless electronic payments.
The $530bn (£390bn) social media giant has quietly spent the past year exploring possible uses of blockchain technology, the decentralised ledger system that underpins bitcoin, ethereum, ripple and the thousands of other digital currencies that have been spawned recently.
Facebook boss Mark Zuckerberg has now assigned one of his most senior lieutenants to oversee the project — David Marcus, previously head of the firm’s Messenger app. Marcus’s brief is to lead a team of developers who can ascertain how “to best leverage blockchain across Facebook, starting from scratch”.
The company declined to elaborate on its plans, but it is understood that Zuckerberg is seriously considering launching a Facebook cryptocurrency. The move is ironic because two months ago, Facebook banned cryptocurrency ads due to the preponderance of scams.
Yet moving into payment systems is one of the big prizes being pursued by all Silicon Valley’s tech giants. They are keen to replicate the success of China’s largest tech companies, which have come to dominate online payments in just a few short years. Alibaba’s Alipay system has been overtaken by the payments system built into Tencent’s WeChat messenger.
Facebook’s appointment of Marcus for its own cryptocurrency effort is telling. Before Facebook, he was president at the online payment giant PayPal, was an early backer of bitcoin and recently joined the board of Coinbase, the cryptocurrency exchange.
Cryptocurrencies have attracted great interest because they promise to allow instant, cross-border, anonymous transactions.
News of a potential Facebook currency spurred a flurry of suggestions for its name, ranging from “ZuckBucks” to “FaceCoin”. Facebook said: “Like many other companies, we are exploring ways to leverage the power of blockchain technology. This new small team will be exploring many different applications. We don’t have anything further to share.”
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