lundi 30 novembre 2015

JavaScript(3)

C'est entendu, pour donner des instructions en html, il faut se trouver à l'intérieur de balises script. Sinon, tout ce que l'on peut écrire va se retrouver sur notre page, bien visible.

Le petit exemple ci- bas, adapté d'un  exemple w3shcools, montre certains aspects bien intéressants du javascript. Oui, il est aisé de créer des objets, ici un objet personne dont les attributs peuvent être regroupés. Pour y accéder, on se sert d'un point. person.firstName nous donne droit à John.

Mais tout aussi intéresant, on peut porter des fonctions comme attributs à l'intérieur de l'objet. Donc, la fonction status va savoir faire un test sur la condition - moins de 30 ans - avant de se servir du petit nom, John. Génial!


Autre possibilité offerte par le JavaScript:accéder aux données de l'utilisateur. Ci-bas, un exemple de recensement du choix dans une liste. On pourait aussi biendonner  l'exemple d'un requête dans une boîte Prompt, ou un simple texte dans un text-box. Tour récupérable.







dimanche 29 novembre 2015

Version(2)

CHANGEMENT

On n'a qu'à s'approcher de l'image pour en changer l'opacité.
On peut définir le style dans l'en-tête, mais il faut faire attention à bien identifier ce à quoi ce style devra correspondre.

samedi 28 novembre 2015

Se comprendre


 Le html nous permet de faire apparaître des dessins de toute sorte, soit à l'intérieur d'une zone délimitée - le canvas, à l'aide du JavaScript - ou librement. Ci-bas, un cercle 'yellow'. Ces dessins sont des scalable vector graphics, donc des dessins vectoriels, et non des images importées de toute pièce.

 
 
 Si on désire une plus fine definition de la teinte voulue, il faut passer au style:

 
 Au niveau de l'animation, on peut aussi animer directement, mais il faut faire la difference entre les
 capacités des différents fureteurs. Cette première animation ne sera pas visible sous Safari ou Internet Explorer, mais le sera sous Chrome.

 
 
Celle-ci devra faire l'objet d'un codage particulier, soit pour Safari ou Explorer.
 
Conclusion, il serait sans doute avantageux d'animer par le biais du JavaScript!

mercredi 25 novembre 2015

parseInt

Aspect très important en toute programmation: faire la difference entre un string et un nombre.
Ceci remonte au C. Un string, c'est une série de caractères, que l'ordi peut stocker comme tel, ou copier, ou rendre. Mais il n'a aucun sense particulier. Et un jeu de chiffres peut très bien se voir
traiter en string, par exemple, si c'est quelque chose reçu en entrée de l'utilisateur. Il existe une function parseInt (lire en tant que integer) très impotante à invoquer:



                                                       *  *  *

Et si on demandait à l'université Harvard de nous conseiller sur la question, on se retrouverait sur Mozilla:



https://developer.mozilla.org/en-US/docs/Web/JavaScript/Guide/Text_formatting#String_objects
https://cs50.harvard.edu/resources/js

mardi 24 novembre 2015

Javascript(2)

Le DOM (Document Object Model) nous donne accès à différents éléments d'une page Web. 
Il y a aussi différents événements que tout fureteur se doit de reconnaître. Le code
ci-bas intervient à l'événement load, c'est-à-dire, au chargement complété de la page, pour
mettre en oeuvre un interdit. 




Sans cet interdit, cliquer me donne droit à un HI!, tel que prévu par la fonction clic 
du tableau. De fait, tout clic sur une rangée spécifique - en l'abscence de code - devient 
un code sur le tableau, qui lui possède une réaction , le HI!

Si je clique sur One, le HI! est désactivé, mais j'aurai des changements de données 
dans mon tableau.




Et je peux, bien sûr, choisir la deuxième rangée comme porteuse des changements.



lundi 23 novembre 2015

JavaScript(1)

JavaScript a été une des premières inventions du Web, et ses conventions de codage - à l'instar du C - sont classiques. Mais contrairement au C, le JavaScritp n'est pas compilé (évalué à l'avance) et les choses se dérouleront telles qu'écrites et dans l'ordre. Ceci est rendu possible par la présence du browser (fureteur), dont le code prend en charge le Javascript. (Les deux devront donc évoluer en tandem!). JavaScript est dit client-side, en opposition au server-side (avec, par exemple, le PHP).

Le HTML ne fait que reproduire de l'information. Si on désire qu'il se passe quelque chose, il faut  un petit script (scénario). On place parfois le script dans la section head (car on s'inquiètait jadis  de pouvoir s'en servir avant le chargement complet de la page). Ceci n'est plus vraiment problématique aujourd'hui mais la convention demeure.


Ci-bas, l'exemple tiré du W3 Schools, montre  ce qu'est une fonction. Il faut faire appel à la fonction décrite par le  script, et cette dernière doit bien retourner le contrôle du déroulement sa mission accomplie.


Sinon - au malheur - on reste piégé à l'intérieur du script.



Et ne pas s'imaginer que les parenthèses vont arranger les choses:

vendredi 20 novembre 2015

Soli

Ce en quoi la critique d'une démarche 'constructiviste' peut être utile:

source: Wikipedia


jeudi 19 novembre 2015

Fondements

Le mathématicien Temple Bell a remarqué 'The map is not the thing mapped', une notion reprise entre autre par l'artiste belge René Magritte dans son oeuvre célèbre Ceci n'est pas une pipe (La Trahison des Images). Son image d'une pipe n'est pas une pipe, parce qu'elle en est une représentation. Nous avons là une notion pas toujours comprise par les débutants en programmation Web.

Prenons une analogie dans le quotidien: je désire un sandwich aux tomates pour mon repas, et je peux le demander à deux personnes différentes. J'ai des bonnes chances d'avoir mon sandwich, mais les deux versions ne seront pas identiques: le premier sera noyé dans le sel et poivre, le second aura droit à la mayo et sera sans croute etc. L'injonction de produire le sandwich ne couvre pas tous les aspects de la question. Il en sera de même dans le monde de la programmation Web: le jeux d'intructions HTML/JavaScript produira des résultats légèrement différents, car il y aura interprétation par des fureteurs différents, Explorer, MacSafari, Opéra, Firefox etc et des ordis de dimensions différentes. Le 'par défaut' diffère, et nécessairement pour des ordis de taille différente.

La conséquence de ce fait peut sembler bizarre: plus on tient mordicus à une présentation semblable, plus le code se  devra d'être élaboré, pour bien tenir compte des divers aspects.
Ci-bas, j'ai demandé une simple en-tête par le biais du compose de Blogger, un aide visuel à la programmation. Si je consulte le code HTML généré 'par la machine' qui sous-tend Blogger, on me met du nobreakingspace ie des espaces tout autour de mon en-tête, car les programmeurs de Blogger on prévu ma situation.



Internet Explorer et Chrome sur une machine Windows, ainsi que Safari sur Mac me donnent le même résultat. Avec Opéra sur Mac, j'ai droit au message suivant:

Les différences entre fureteurs peuvent venir de la façon d'aborder le système d'exploitation. Aussi, le nombre d'options offertes (correcteur de grammaire automatique?); et finalement certains protocols qui affecteront la vitesse  (download anticipatif) ou encore mesures de sécurité. Et bien sûr, le language de programmation du fureteur-même (JavaScript?). Il est bon de suivre l'évolution des choses.

samedi 14 novembre 2015

dimanche 8 novembre 2015

The Scoop

Pour un dessert au thé époustouflant, voir
sur YouTube, theScoop. Même sans traduction,
on comprend.



                                                              * * *

On peut s'aventurer à décrypter le Coréen assez rapidement. C'est une langue phonétique,
SOV (sujet, objet, verbe) sans articles mais munie de particules qui indiquent la fonction sujet ou objet des mots. L'unité visuelle est un carré syllabique, qui peut contenir consonnes et voyelles, soit côte à côte ou dessus-dessous.

Les voyelles représentent, la terre, le soleil et l'homme; les consonnes le travail phonétique à accomplir (voir Wikipédia).

http://www.cours-coreen.fr/index.php?page=introduction01

Même une feuille de papier est plus légère si on la porte à deux.
proverbe sud-coréen

samedi 7 novembre 2015

En clair (1)

Il s'agit de remarquer que l'on peut voir le code HTML de son post, en cliquant en haut à gauche:







vendredi 6 novembre 2015

En clair (2)

 
 
Afin d'avoir accès aux images de la petite animation, j'ai bien sûr fait une copie à partir du net. En entreposant ces images sur Blogger, j'ai fait ce que l'on nomme un push to the cloud (un pull dans le cas contraire). Parce qu'en entreprise, il peut y aoir plusieurs personnes ayant accès aux informations, et il faut se comprendre.

Pull et push se retrouvent aussi dans d'autres domains. Les notions du Kanban, un modèle de gestion de production, se voient décrites comme pull-driven.
À suivre.
 
http://www.w3schools.com/js/js_intro.asp

Cloud Magic

Et voici donc le pouvoir du Cloud Computing. Je reproduis ci-bas un exemple de la W3Schools pour le javascript. Les deux images ne sont pas de cette entrée, mais font partie d'un posting antérieur. Parce que Blogger est héberger sur le Cloud, elle vont se retrouver dans cet example car j'ai donné l'adresse du posting Mes images dans le code. Magique!

JavaScript Can Change Images

Click the light bulb to turn on/off the light.

mardi 3 novembre 2015

Trade

Dans le monde de la nutrition, on en est venu à se questionner sur l'importance du sucre 'jouté' à notre alimentation. En référence, un article de survol bien intéressant, pour un public britannique.

                              . . .


                                                                                       . . .


http://www.msn.com/en-gb/health/nutrition/sugar-how-we-came-to-crave-the-food-that-nobody-needs/ar-BBmM1g5?li=AAaeUIW

lundi 2 novembre 2015

Contraire

La Khan Academy nous offer, sur son site d'apprentissage, un charmant programme, qui illustre le pouvoir de Javascript et qui -en mëme temps nous - apprend quelque chose sur le monde des ordinateurs. Et oui, le 3-D n'est finalement que du 2-D avec des triangles ombrés.



Le programme (à gauche de l'encran) avance les morceaux de 1 à chaque iteration.




Une fois le 50 atteint, on passe au un texte suivant etc. Voilà pourquoi le javascript sert
abondamment sur le Web: les outils de la programmation sont à notre disposition de la manière la plus simple qui soit.

Et qu'apprend-on, en fin de compte? Que cette procédure est tellement utilisée, que les cartes graphiques la représente en expression physique. C'est tout le contraire de la programmation
pour le Cloud, qui crée des versions virtuelles, de procédures de déploiement.